D'abord il y a le concept : une expo sur Lennon, quelle idée ?Après je compte sur mes doigts, j'arrive à 25 ans... je dis OK.
Après il y a la 1ère partie de l'expo, plein de John, de Paul, de George et de Ringo partout, dans toute leur diversité capillaire, au Shea Stadium, en train de faire les cons dans Help, dans leurs costumes de Sergent Pepper, working class hero à fond sur les jeunes années, Number Nine à fond dans un studio reconstitué.
J'hallucine, des groupes suivent des conférenciers.
Bon, même si c'est Anthology délayé avec quelques guitares, des manuscrits et trois objets de la beatlesmania, Madame V est contente.
Enfin il y a la 2ème partie de l'expo, à la gloire de, véritable hymne à, en l'honneur de... John ? non pas du tout, de la nipponne chevelue, qui couine sur des court-métrages abscons, se fait découper sa robe sur scène et s'incruste dans tous les plans où Lennon pourrait tenter de chanter un truc.
Ses 18 mois à LA sans la hyène sont torchés sur un plan ( deux albums, pourtant ), et hop, décembre 1980, end of the story.
Madame V rigole nerveusement avec Raymond, si on y allait ?
Pour la peine je vais me repasser le white album, tiens, sans sauter Number Nine.
3 commentaires:
Je confirme que l'envahissante présence de la goule bridée est inversement proportionnelle à son talent artistique : on ne voit qu'elle (ce qui est déjà une souffrance), on n'entend qu'elle (c'est au delà des mots), c'est une caricature d'artiste conceptuel qui n'existe que par la notoriété de feu son 1/4 de Beatles. Consternifiant.
Happy birthday Madame V......
Reste que les quatre garçons dans le vent le seraient encore plus s'ils t'avaient connue .... personnellement !
Alors laissons de côté la has been nipponne ... car c'est ta vision qui est meilleure .
D'ailleurs j'attend avec impatience ton expo sur les boys anglais sur le blog ... par exemple.
en attendant I've had a hard days work ..... and lalala.
bises ,
Ju
YOKO!?!...O NOOOOOOOO !!!!
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